Souvent de compétences et de fonction, il est aujourd’hui vital qu’elle se fonde sur la personne du dirigeant, qu’elle s’ancre dans qui il est.
Légitimité attendue par les jeunes générations.
La complexité actuelle ne réclame pas seulement une maîtrise des outils capables d’organiser efficacement de l’extérieur, mais d’avoir les éléments de compréhension, le référentiel, la sagesse pour ordonner de l’intérieur.
Prendre du recul pour ne pas être emporté par le flot ; voir clair et prendre les bonnes décisions ; fortifier l’homme et lui permettre de grandir.
EN EXTERNE – se différencier : une entreprise qui se banalise dans le paysage concurrentiel n’aura de choix que la baisse de ses prix, de ses marges, de sa pérennité.
EN INTERNE – se fédérer : une entreprise divisée de l’intérieur s’affaiblit. Tous dans la même piscine, chacun dans sa ligne d’eau, règnent les cloisons, métiers ou fonctions.
Elle se structure en trois dimensions :
. ce qu’elle fait, ses métiers, ses produits et services
. ce qu’elle vit, ses relations internes et externes
. qui elle est, son ADN, son identité, son esprit
L’ADN, l’identité, l’esprit ont cette caractéristique unique de pouvoir être communs à des professionnels exerçant des métiers distincts et des personnes ayant des relations diverses.
L’enjeu est de trouver cet ADN, de l’extraire, de le nommer et de l’ordonner en une vision qui aura trois caractéristiques pour être opérante :
ÊTRE ÉCLAIRANTE : elle dit qui nous sommes, où nous allons et pourquoi.
ÊTRE PARTAGÉE : elle fédère ceux qui en sont à l’origine.
ÊTRE TRANSFORMANTE : elle se décline concrètement dans les relations, comportements et métiers.
Les dirigeants et leurs équipes font appel à moi pour relever le défi de ces enjeux.
La transmission de l’entreprise est un des enjeux clé de sa courbe de vie. Elle réclame d’être saisie dans toutes ses dimensions, elle ne serait pas parfaite, mais appelle à être complète.
Une entreprise se structure en deux dimensions clés :
Classiquement, c’est le patrimoine matériel qui est valorisé et envisagé comme axe de la transmission, sa capacité à être évalué facilité cette partition.
Mais ne considérer qu’elle atrophie ce qu’est l’entreprise qui se singularise par une richesse composée d’hommes, de relations et d’esprit.
Si le patrimoine matériel se mesure et se quantifie, le patrimoine immatériel s’apprécie et se formule, ce qui réclame d’en avoir une vision.
Si la transmission est commandée par la seule mesure d’âge, elle est l’acte d’un homme finissant. Or, elle est le propre du vivant, dès qu’une information est engrammée dans une cellule, celle-ci la communique.
Alors est-elle l’acte d’un homme finissant contraint par les mesures d’âge ?
C’est pour vivre ce challenge ultime en trois dimensions que les entreprises font appel à moi.
Retrouvez-moi ci-dessous en audio lors d’une émission enregistrée où je parle du Leadership.